(Blang Records 2018) Mark E. Smith est mort. Le dernier des véritables punk, bien plus misanthrope que tous les Johnny Rotten du monde, bien plus prompt à se mettre en danger et à se saborder pour mieux renaître, a fini par payer ses années d’excès et d’autodestruction. Ses reins et ses poumons ont fini par le lâcher – sans surprise – et le monde du rock a perdu un de ses héros. S’il lègue à ses fans une œuvre immense et d’une profondeur parfois effrayante, son héritage et son influence se manifeste dans des recoins insoupçonnés. Le dernier exemple en
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